Allier travail et passion ?

Catégorie : Autres

Publié le Mardi 22 Mars 2022

Partie 2

 

Ou alors dans l’élevage ou la reproduction ?

L’éleveur a pour mission principale de maintenir et d’améliorer la race qu’il élève. Il a le privilège de faire naître et d’élever les poulains. Chaque jour, il prend un moment avec chacun pour les nourrir et surveiller leur état de santé. Il prend aussi en charge l’éducation des jeunes poulains (mise du licol, tenue à la longe, mise de la selle…).

Enfin, selon l’organisation de l’établissement, l’éleveur équin assure parfois l’entretien du matériel ainsi que le nettoyage des box. Il peut aussi participer à la récolte du foin ainsi qu’à la culture des céréales pour alimenter les chevaux.

Il n’y a pas de formation obligatoire pour exercer ce métier, mais de solides connaissances dans le monde équin permettront de surmonter bien des difficultés. Le suivi d’une formation de cavalier soigneur est vivement recommandé.

Inséminateur : Maîtrisant les techniques modernes de reproduction, l’inséminateur assure l’insémination des juments, en sperme frais, réfrigéré ou congelé. Il s’agit d’un métier saisonnier (de février à juillet) qui nécessite souvent d’avoir une activité complémentaire hors période de reproduction. L’inséminateur peut intervenir dans un centre d’insémination ou en itinérance, chez les éleveurs. Côté formation, cela nécessite un certificat d’aptitude à réaliser des inséminations artificielles sur équin. Il est délivré après succès à l'examen de la formation dispensée par l'Ecole Nationale Professionnelle des Haras (Jumenterie du Pin, IFCE), accessible après un Bac Pro CGEA, BTA ou BTS PA.

Très souvent les inséminateurs sont déjà des professionnels (vétérinaire, éleveur, assistant d’élevage) et leurs compétences nouvelles viennent compléter leur savoir-faire. (A noter que les docteurs vétérinaires sont inséminateurs d'office).

 

Plus administratif :

Chef de produit, ça vous parle ? Il est garant de la gestion d’un produit dans son ensemble, de sa conception jusqu’à sa mise en vente. Etudes de marché, suivis des ventes, comparaisons des saisons, analyses de la concurrence et plans marketing font partie de son quotidien. Cela peut donc être des produits de sellerie, la création d’un nouveau service (type application de suivi de soin d’un équidé par exemple.) Un bac +4 ou +5 dans le secteur marketing est généralement attendu.

Secrétaire / comptable : Dans un Haras, un centre équestre, une sellerie ou encore une société de service comme du transport équin. Ses missions seront variées : standard téléphonique, accueil et renseignements, gestion des contrats de travail, paie du personnel, démarches administratives liées aux activités équestres (élevage, compétition, courses...). Il maîtrise la gestion comptable d’une entreprise et connaît bien la réglementation. Un niveau Bac (Bac professionnel, Bac technologique) ou Bac+2 (BTS, DUT, ...) en secrétariat, comptabilité/gestion, informatique de gestion sera primordial pour pouvoir aborder toutes les faces de ce métier.

Et pourquoi pas devenir collaborateur dans les assurances équestres ?

Profession réglementée, un diplôme dans le secteur de l’assurance vous sera demandé (BTS ou Licence professionnelle banque assurance). Votre quotidien ? Selon le poste de travail, vous aurez diverses missions :

  • Service gestion/souscription : réponse aux appels téléphoniques et e-mails, pour des devis ou le suivi d’un contrat. Enregistrement ou relances des pièces des dossiers, en bref vous accompagnez les assurés du début à la fin.
  • Service sinistre : Ouverture des dossiers sinistres, réponses aux questions des assurés par téléphone ou e-mail, indemnisations des clients. Vous gérez toutes les phases d’un sinistre de l’ouverture au règlement

Chez CHEVAL ASSUR, nos conseillers sont polyvalents. Le service sinistre est indisponible ? Tous les membres de l’équipe pourront vous renseigner.

Sources :  https://www.equiressources.fr/contenu/La_filiere_equine_-_metiers___formations.pdf

https://metiers.ffe.com/

https://equipedia.ifce.fr/